CONCLUSION

Et puis viendra un jour, où nous ne rirons plus parce que nous percevons une chose décalée par rapport à nos acquis cognitifs et sociaux, mais parce que nous sommes heureux.
Nous rirons, non parce que un enfant fait une pirouette ou une grimace comique, mais seulement pour partager son bonheur.
Ce sera le début de notre liberté.



Precedent Page précédente Sommaire  Page suivante  Suivant